Ce Magnificat fut composé en l’honneur du tricentenaire de l’institution « Notre Dame de Bonnes Nouvelles » de Beaupréau (Maine et Loire) à l’occasion du trois-centième anniversaire de sa création, au mois de Juillet 2010. Cette œuvre, écrite volontairement dans un caractère ancien (utilisation de quartes et de quintes, vocalises dans le style grégorien...) reprend les paroles du Magnificat de l’église catholique, ici, dans leur traduction française. Le mot « Magnificat » encadre les différentes strophes du texte (4 strophes plus la doxologie) dans une écriture vocale qui se développe et s’enrichit au fur et à mesure. Les strophes soulignent musicalement la narration dans un style légèrement descriptif.